DiZak Ketex – DZK lance le coup d’envoi de ses 20 ans !
- Virginie Sanchez

- 2 juil.
- 2 min de lecture

« En près de 20 ans de MICE, mon métier a bien changé.
Tout a commencé en 2004, en 56k sur anpe.fr. Après un entretien réussi, j’ai pris un billet d’avion aller simple pour Prague.
En quelques mois, j’ai touché à tout, même au job de chef de projets MICE (plutôt moyen, soyons honnêtes 😅), avant de créer, avec mon acolyte de toujours Olivier Roman – l’autre moitié du désordre créatif – notre propre société : Dizak Ketex, très vite raccourci en DZK.
Le chemin a été long : des week-ends à bosser, des semaines à arpenter les rues de Paris, Lyon… Puis, ensuite : Madrid, Cape Town, Mexico, Vegas, Singapour… À faire avancer notre petite aventure, vendre l’intangible, ne plus savoir quel jour on est.
Aujourd’hui, quand on me demande ce que je fais, je réponds : Je dirige un groupe de sociétés autour du MICE. Et là, je vois les regards se perdre. Personne ne comprend. Et ce n’est pas grave. Car comment expliquer en une phrase que DZK, c’est :
• 14 bureaux
• 7 marques de DMC
• Une agence de représentation
• Des sociétés d’incentives autour de l’automobile
• Et une galaxie d’idées plus ou moins bien rangées
Et surtout… une équipe de 50 personnes. Des vétérans de la première heure, des stagiaires devenus seniors, des gens qui nous font confiance.
Mon quotidien ?
Loin du terrain — et c’est sûrement mieux : mes idées sont (souvent) un peu trop folles 😅 Je passe un temps fou au téléphone, parfois autant que dans les avions. Je parle développement, IA, TVA… et toutes ces petites choses qui font la vie d’une PME. Et puis, parfois, je repars sur le terrain. Pour une soirée, un repérage, un rendez-vous. On échange : ce rooftop ? Ce lieu de gala ? Quelle nouvelle activité ? Et systématiquement, je me dis : J’aimerais être l’invité de ce groupe. Pas l’organisateur. Pas le chef de projet. Juste un participant, émerveillé de découvrir une destination. Puis je repars. Un IMEX, un sales call au Mexique… Et malgré les années, les doutes, les briefs sans réponse, il reste ce petit frisson quand un projet arrive. Ce « Tiens, celui-là, si on le décroche, ce sera un super event ». Alors je continue. Je ne sais pas si je tiendrai encore vingt ans. Il faut une énergie folle pour vivre dans un secteur qui vacille sans cesse. Mais je reste, envers et contre tout, amoureux de cette drôle de vie.
En 2026, DZK aura 20 ans.
L’occasion de raconter, de lever le voile.
Pendant les 12 prochains mois, je vais partager ici un souvenir, une anecdote, un moment marquant. Ce qui nous a fait avancer, ce qui nous a fait douter, et ce qui continue à nous faire vibrer. Un épisode par-ci, un autre par-là… Jusqu’à un final, collectif. Mais chut… on en reparlera ».
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